jeudi 23 novembre 2017
Les parfums du rasage
Si vous utilisez actuellement une crème à raser, un savon à barbe ou un gel à raser, l'utilisation d'une huile de rasage sera une expérience unique. Les entreprises de lames de rasoir ont fait de nombreux changements au fil des ans. Néanmoins, les modifications apportées aux produits que nous utilisons pour le rasage n'ont pas été aussi significatives. Commençons par parler de vos lames. À l'origine, les hommes ont commencé à se raser avec un seul rasoir. Maintenant, vous pouvez acheter des rasoirs avec deux, trois ou même cinq lames. Comme de plus en plus de lames sont ajoutées, le coût augmente mais votre expérience de rasage s'améliore-t-elle? Avons-nous réellement besoin d'un rasoir à cinq lames pour nous raser le visage? Pour obtenir un meilleur rasage, vous aurez besoin d'une meilleure surface de rasage et non plus de lames. Pour commencer, vous devez comprendre comment les crèmes à raser, les savons, les gels et les lotions fonctionnent. Ces produits de rasage sont conçus pour faire une chose. Ils vous aident à prévenir les entailles, les coupures ou même les brûlures du rasoir en produisant une surface lisse pour votre rasoir. Un ingrédient commun dans quelques-uns de ces articles est l'alcool qui est connu pour sécher la peau. Presque tous les savons et les lotions sur le marché perdent rapidement leur vitesse. Les entreprises qui fabriquent des rasoirs savent très bien que leurs produits de rasage manquent souvent de la souplesse dont nous avons besoin. Il suffit de vérifier votre rasoir et vous verrez la bande lubrifiante supplémentaire qu'ils ajoutent à leurs rasoirs. Les huiles de rasage sont composées de mélanges d'huiles dérivées de plantes et d'aliments qui créent une surface glissante pour votre rasoir. Les huiles de rasage de haute qualité sont créées avec des mélanges coûteux d'huiles naturelles. Ils ne devraient jamais avoir des huiles à base de pétrole qui peuvent nuire à la peau. Vous pourriez ne jamais voir des parfums utilisés dans des huiles de rasage de haute qualité. Les huiles énumérées dans les composants peuvent avoir des noms drôles, mais elles devraient toutes être dérivées naturellement des usines ou des nourritures. Pour utiliser une huile de rasage, il suffit de trois à cinq gouttes d'huile. Commencez par mouiller votre visage avec de l'eau tiède. Appliquez trois à cinq gouttes sur votre visage et massez-le. Après quelques instants, réhumidifiez la zone de rasage. Puisque l'eau et l'huile ne mélangent pas une surface lisse, elles seront créées pour votre rasoir. En ayant une surface lisse, vous éviterez naturellement les entailles et les coupures. Une surface glissante signifie moins de traînée de rasoir qui empêche naturellement le feu de rasoir. Un rasage de près lisse aidera également à prévenir les poils incarnés. Après le rasage, utilisez simplement une serviette pour sécher votre visage. Le mélange naturel d'huiles qui restera sur votre peau aidera à garder votre peau humide et fraîche plutôt que sèche et aggravée. Certaines personnes lissent même sur deux ou trois gouttes de plus après le rasage juste pour terminer le travail. Ne pas utiliser un après-rasage qui incorpore de l'alcool après le rasage avec une huile. L'alcool va certainement contrer les bienfaits hydratants de l'huile de rasage. Essayez d'utiliser un hydratant de bonne réputation, non parfumé, après le rasage. L'utilisation quotidienne d'une huile de rasage et d'une crème hydratante permettra à votre peau de rester saine et jeune pendant un certain temps. Pour les utilisateurs d'huile de rasage pour la première fois, il est essentiel de commencer avec une nouvelle lame pour votre premier rasage. Vous devez vous engager à utiliser une huile de rasage pendant trois rasages consécutifs pour voir les résultats optimaux. Le coût des huiles de rasage peut régulièrement être trompeur. Une bouteille d'une once coûtera souvent entre 10 $ et 15 $ en fonction des huiles qui sont utilisées. Vous pourriez même trouver des bouteilles plus petites pour environ 7 $. Ne laissez pas la taille vous tromper, car une once est beaucoup d'huile de rasage lorsque vous avez seulement besoin de quelques gouttes. La quantité de cette petite quantité d'huile vaudra le rasage que vous obtenez. Retrouvez plus de renseignements sur l'organisateur de cette session pour créer son parfum à Eze.
mercredi 22 novembre 2017
Les Dames du Pont
Elles se font appeler « Les Dames du Pont ». Sculptées par l’artiste René Letourneur, les deux statues monumentales situées à l’entrée du pont-Georges Pompidou, au Pecq, côté Saint-Germain, font partie du paysage depuis plus de cinquante ans. Et il était visiblement temps pour ces deux femmes dénudées allongées dans le fleuve de s’offrir une cure de jouvence. Car la roche calcaire blanchâtre qui les compose a depuis longtemps perdu sa couleur d’origine sous les effets des intempéries et surtout de la pollution, puisqu’on estime à près de 45 000 le nombre de véhicules qui circulent chaque jour à leurs pieds. Jusqu’au 8 décembre, les services du département entreprennent ainsi un nettoyage en profondeur de ces deux œuvres, baptisées « La Seine » pour l’une et « L’Oise » pour l’autre, en référence à l’ancienne dénomination des Yvelines, La Seine-et-Oise. « C’est une opération prévue de longue date mais il avait été convenu avec le Département d’attendre la fin des travaux aux pieds des rampes », explique Laurence Bernard, la maire LR du Pecq qui se dit « ravie que cela puisse se faire et que le conseil départemental ait accepté de prendre l’opération à sa charge (NDLR : le coût estimé est d’environ 12 000 €) ». Et l’élue de préciser : « À ma connaissance, c’est la première fois qu’elles seront restaurées. Ce sont des œuvres emblématiques de la ville et les habitants y sont très attachés ». Lors de leur installation, « La Seine » et « L’Oise » avaient, outre le côté décoratif, une fonction purement pratique : il s’agissait de créer, grâce à leur poids, une poussée verticale contrebalançant la poussée horizontale naturelle de l’ouvrage. Une technique devenue obsolète avec l’emploi des matériaux actuels. C’est pourquoi le pont Georges-Pompidou, inauguré en 1963, est présenté comme le dernier ouvrage de la sorte
vendredi 20 octobre 2017
Balade en quad
Dernièrement, j'ai accompli une excursion en quad à Cannes. Je n'en avais encore jamais fait, mais je n'ai pas regretté. Cependant, pendant cette après-midi, je me suis fait cette réflexion pour le moins curieuse : ce que j'aime le plus dans les sports mécaniques, ce sont les moments où je me fais le plus peur. Quand je dévale une pente un peu trop vite, quand je saute sur une bosse, etc... C'est tout de même anormal, à bien y réfléchir, d'aimer ce sentiment ! Et depuis lors, je retrouve partout cette peur autour de moi.
Considérez le cinéma, par exemple. Un énième remake de Ça est récemment sorti dans les salles. Pourquoi payer pour se faire peur ? Et ce n'est qu'un début : on retrouve cet amour de la peur jusque dans les médias. Notez la fascination des médias envers Donald Trump : les journalistes ne parlent que de lui. Et ça a débuté bien avant son élection. Je suis convaincu que si ce gars fascine à ce point, c'est parce qu'il nous terrifie. Ce type qui a la maturité d'un enfant de 4 ans pourrait vraiment causer d'énormes dégâts avant la fin de son mandat, et nous le contemplons donc sans dire un mot, comme engourdis.
Et ça en dit long, je trouve. Pourquoi les faits divers les plus glauques sont-ils systématiquement ceux qui captivent le plus le public ? Et pour quelle raison y a-t-il toujours des gens qui ralentissent quand ils passent à proximité d'un accident de la route ?
Je pense que cette peur est une caractéristique cruciale de notre société. Et ce qui est le plus bizarre, c'est que nous faisons bien plus que la subir : c'est elle qui est au cœur de nos plus étranges comportements. Et je comprends désormais d'où elle vient, je crois : elle est le contrecoup logique de notre civilisation, du confort dans lequel nous baignons, et dont nous voulons nous détacher de temps en temps.
Quoi qu'il en soit, si vous ne connaissez pas le quad, je vous invite à essayer. Voilà le site où j'ai dégoté cette expérience à Cannes, si ça vous intéresse... Retrouvez toutes les informations sur cette randonnée en quad à Cannes en suivant le lien.
jeudi 12 octobre 2017
Quand on incendie des crèches
L'incendie, qui a également fait plusieurs dizaines de blessés, a eu lieu dans la matinée dans un quartier modeste de Janauba, ville de 70 000 située à 600 km de Belo Horizonte, capitale de l'État de Minas Gerais (sud-est). «Ce matin, quatre enfants et une enseignante sont morts brûlés quand un gardien de la crèche a répandu de l'alcool sur ses victimes et sur son propre corps avant d'y mettre le feu», a annoncé le parquet de cet État dans un communiqué. Transporté par les services d'urgence dans un état grave «avec des brûlures sur tout le corps», le gardien, âgé de 50 ans, est décédé quelques heures plus tard, a indiqué à l'AFP le directeur de l'hôpital local, Bruno Ataide Santos. Selon cette même source, «environ 50 blessés» ont été hospitalisés, mais on ignorait la gravité de leur état. Environ 80 enfants se trouvaient dans la crèche au moment du drame. D'après le site d'information G1, les quatre enfants décédés étaient âgés de quatre ans. La police locale a indiqué que des agents s'étaient rendus «au domicile du suspect et de membres de sa famille» pour tenter d'établir «les raisons qui ont motivé le crime». Le commissaire Renato Nunes a expliqué au site du journal local Hoje em Dia que le gardien souffrait de «problèmes mentaux» depuis 2014, ajoutant que de nombreuses bouteilles d'alcool avaient été retrouvées à son domicile. Il travaillait depuis au moins huit ans dans la crèche où il n'était pas en contact direct avec les enfants. Dès que les premières informations sur le drame ont commencé à circuler, les parents bouleversés ont afflué en masse pour tenter d'avoir des nouvelles de leurs enfants. Ils se sont retrouvés devant des locaux carbonisés. «Comme la crèche est près de chez nous, nous avons entendu du bruit et nous avons accouru. Ma petite fille était si gentille, si intelligente», a déclaré Nelson de Jesus Silva, père d'une des victimes, Ana Clara Ferreira, à la télévision Globonews. Jane Kelly, mère du petit Juan Miguel Soares, était tout aussi effondrée. «Je pensais le changer de crèche, parce que nous nous apprêtions à déménager. Je l'ai réveillé tôt pour l'amener ici et quand je l'ai revu, il était mort à l'hôpital», a-t-elle déclaré à la même chaîne, en larme. Le maire de Janauba, Carlos Isaildon Mendes, qui a décrété sept jours de deuil officiel, a expliqué au site Uol qu'une tragédie de plus grande ampleur avait été évitée de justesse. «Ça aurait pu être encore pire, parce que la chambre des bébés se trouvait dans la salle d'à côté. L'évacuation aurait été beaucoup plus difficile. Comme les enfants étaient plus grands, beaucoup d'entre eux ont réussi à s'échapper», a-t-il expliqué. Le président brésilien Michel Temer a publié un message sur Twitter pour exprimer sa «solidarité envers les familles» des victimes de «cette tragédie». «Moi qui suis père de famille, j'imagine que cette perte doit être extrêmement douloureuse», a-t-il ajouté, souhaitant que «ces choses ne se reproduisent plus au Brésil».
jeudi 7 septembre 2017
Simulateur de l'extreme
Paris Charles de Gaulle, 11 heures. Excité, je découvre enfin la cabine de l'A330 et m'assieds sur le siège avant gauche, tandis que mon ami se pose dans le siège arrière. C'est lui qui m'a offert ce vol en simulateur. Tandis que mon instructeur prend position à mes côtés, sur le siège du co-pilote, j'observe la cabine, qui est l'exacte réplique d'un Airbus. La simulation est saisissante de réalisme. Par la fenêtre, j'aperçois l'aéroport de Nice, qui brille dans la nuit. Les instruments de bord brillent comme un sapin de Noël dans le cockpit. Je me retourne et aperçois les rangées de sièges du compartiment passager. Je ne vois pas trop à quoi peut servir de simuler cette partie de l'appareil, mais ils ont poussé l'immersion jusque là. Impressionné, j'attache ma ceinture et mets mon casque. Une poignée de minutes plus tard, après avoir procédé aux vérifications d'usage sous l'oeil attentif de mon instructeur, je demande finalement à la tour l'autorisation de décoller, puis pousse la manette des gaz. Un instant plus tard, je tire le manche vers moi et l'appareil quitte le tarmac dans le hurlement des moteurs. Je me retrouve collé contre mon siège tandis que nous grimpons à deux mille pieds. L'expérience est si prenante que j'en oublie qu'il s'agit d'une simulation. On est loin d'un FSX, ici. Ce simulateur professionnel est utilisé par les compagnies pour l'instruction de leurs pilotes de ligne et il reproduit la réalité à plus de 98% ! Niveau visuel, d'abord : la terre est rendue en qualité photo-réaliste. Les conditions météorologiques sont si bien rendues qu'on ne peut parfois distinguer le réel du virtuel : la nuit et son ciel étoilé sont incroyables ; l'orage près duquel nous passons est une pure merveille. Mais c'est au niveau sensations où l'expérience est la plus troublante : la cabine est aménagée sur des vérins hydrauliques, qui permettent de recréer tout ce qu'on peut ressentir en vol : accélérations, inclinaison, turbulences... J'ai opté pour un simple trajet entre Nice et Ajaccio, de nuit et sous un ciel dégagé. Une expérience magique et reposante... jusqu'à ce qu'un moteur me lâche et que le panneau de bord se mette à clignoter en tous sens (j'apprendrai plus tard que mon ami avait discrètement demandé à compliquer le vol avec une avarie) ! Je peux vous dire que ça n'a beau être qu'une simulation, la panique est bien réelle quand résonnent les alarmes que vous devez vous poser en urgence dans le noir sur une autoroute !
C'est de loin la meilleure expérience de simulation que j'aie jamais faite, et je la recommande à tous les accros de simulation. Et si vous êtes un mordu d'adrénaline, demandez-donc des conditions météos défavorables pour votre vol, ou une panne moteur : vous m'en direz des nouvelles... A lire sur le site du vol en simulateur.
mercredi 23 août 2017
Le groupe LGBT qui lutte contre l’Etat Islamique
Un fusil d’assaut AK-47 sur fond rose. C’est le symbole de la nouvelle unité militaire créée par les International Revolutionary People's Guerrilla Forces (IRPGF), un mouvement anarchiste composé de combattants internationaux qui se battent contre l’État islamique aux côté des forces kurdes dans le nord de la Syrie. Le 24 juillet, les IRPGF ont annoncé, via un communiqué sur leur page Twitter, la création de la Queer Insurrection and Liberation Army (TQILA), relève Newsweek. Il s’agit de la première unité militaire composée de membres de la communauté LGBTQI (Lesbienne, Gay, Bisexuelle, Transexuelle, Queer et Intersexuelle) à se battre contre les djihadistes de Daech. À prononcer «tequila», ce groupe militaire entend «écraser la binarité des genres» et «faire progresser la révolution des femmes ainsi que la révolution sexuelle des genres», selon le communiqué. «Les membres de TQILA ont regardé avec horreur les forces extrémistes et fascistes attaquer la communauté queer à travers le monde. Les images d’hommes gays jetés du haut des toits et lapidés à mort par Daesh était quelque chose que nous ne pouvions plus regarder sans réagir.» Le nombre de combattants qui composent cette nouvelle unité n’a pas été transmis par mesure de sécurité, selon Heval Rojhilat, porte-parole de TQILA interviewé par Newsweek. Mais il affirme que «beaucoup de membres font partie de la communauté LGBTQI». Cette communauté ne souhaite donc plus rester passive face aux persécutions de Daech. Pour l’organisation djihadiste, l’homosexualité est en effet un péché punissable de mort. Depuis 2014, elle a diffusé de nombreuses vidéos de propagande anti-homosexuels. Dans certaines, on pouvait voir, comme l'expliquait le communiqué, des hommes gays jetés du haut de toits dans les zones de guerre puis lapidés une fois à terre s’ils n’étaient pas morts au cours de leur chute. L’État islamique avait également revendiqué la tuerie de boîte de nuit gay d’Orlando, en Floride, dans laquelle 49 personnes avaient trouvé la mort en 2016.
vendredi 23 juin 2017
Le marketing de la fraicheur
Alors que 66 départements français sont en vigilance orange par cette période de canicule, il en va de toutes les astuces pour mieux supporter la chaleur. Mais quelles recommandations sérieuses peut-on faire à ceux qui souhaiteraient adapter leur repas à la canicule? Que faut-il manger et boire quand il fait aussi chaud? Patrick Tournian : Ça dépend des âges ; à part les personnes âgés et les jeunes nourrissons, la soif s'adapte aux besoin. Il faut que les gens boivent à leur soif. Pour diminuer la quantité d’eau à boire, il faut essayer de manger des produits pleins d’eau tels que des fruits et des légumes. Tout ce qui permet en fait la réhydratation. Par contre, chez les enfants en bas âge, il faut toujours leur proposer à boire. Mais il ne faut pas s’étonner s'ils refusent. Les jeunes nourrissons boivent énormément de lait, qui leur apporte des quantités hydriques très importantes. Même pendant les canicules, ils n’ont pas toujours très soif. Il faut leur proposer entre les biberons de lait des verres d’eau, mais en veillant bien à ne pas remplacer l’un par l’autre. Pour les personnes âgées, c’est plus compliqué. La sensation de soif est nettement diminuée. Il faut qu’elles boivent de manière régulière des petites gorgées répétées. Les personnes opérées de chirurgie bariatrique ont également ce problème. Je crois qu’il faut vraiment avant tout obéir à sa demande. Il y a beaucoup de marketing autour de l’alimentation pendant les périodes de fortes chaleurs. On entend de tout : d’un côté, il faut boire frais, de l’autre il faut boire chaud. Il n’y pas grand chose de très solide là-dessus. Il faut simplement savoir boire à sa soif et manger des aliments riches en eau. Globalement, il ne faut pas faire trop attention à la façon dont on nous dit de boire et de manger. Ce qu’il faut savoir, c’est que dans les pays où il fait très chaud, comme en Afrique, quelqu’un qui n’est pas habitué au climat va boire des quantités phénoménales d’eau. En revanche, ceux qui y résident boivent des quantités d’eau faible. Il y a une adaptation, le corps réagit. C’est pourquoi, dans ces périodes de fortes chaleurs, si l’on se contente d’écouter ses besoins, on va boire un peu moins que ce que l’on veut nous faire boire. Plus on boit, plus on a soif.
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